La musique glisse. Les paroles n'ont plus aucun sens, les mots sont là, mais ils ne vont nul part. Rien ne s'imprègne dans les esprits.Les notes, elles, communiquent, elles chantent d'elles-même et la mélodie entre en symbiose avec tout ce qui l'entoure.
C'est la révolution. Celle d'une époque ancienne, oubliée, qu'on essaie de dépoussiérer mais la poussière est tenace et recouvre encore de longs jours, semaines, voire même mois.
La vie suit son cours, et ce que je sais, aujourd'hui, c'est que je ne veux rien oublier.
Sauf que c'est un peu trop tard, parce que j'ai déjà oublié.
Vous savez bien que j'aime les fraises.
Si tu REpasses par là, t'es gentil mais j'écris pas mes articles pour tes cachets d'aspirines.
C'est vraiment la révolution, non seulement IL va au grec pour bien entretenir ses mag'nifiques formes mais en plus IL pose son cul sur les trucs verts gluants du dessus de Carrefour !
Mais, mais c'est pas un petit bourge ça !
8 commentaires:
tu membrouilles avec tous tes "il" qui fusent de partout ^^
bon, j'ai rien compris à ton article, mais VIVA LOS H**** DE P*** :D
bon et celui de larticle davant alors ?
qui te dit que c'est quelqu'un ? haha
bon bon, je vais à mon supeeeer cours de pianoooo moi [bouh, pas touché à une seule page de ma chimie]
kk gluck :) (j'ai retrouvé ton an' en fait :D ca marche le chantage là ? héhé)
joyeuse st valentin
bleh mon message a été coupé ><
bon pas grave :D
jcomprends pas, pourquoi tu fais ça ? t'es trop gentille, ça fait croire des trucs, jte jure ><
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